(¯`·._) DuCkDuCkY fAiT sOn CiNéMa (¯`·._)
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(¯`·._) DuCkDuCkY fAiT sOn CiNéMa (¯`·._)
Salut les loulous et les chouchous !!!!!!!
J’ai décidé d’ouvrir un nouveau topic où je vous parlerai régulièrement d’une de mes passions : le cinéma. Ce topic a pour but de vous faire découvrir un film que j’ai vu et qui m’a marqué, en bien ou en mal, que ce soit un film que j’ai vu il y a 20 au ciné ou hier en DVD. Bien entendu les avis sur les films sont propres à chaque personne et on peut vénérer un film que son voisin déteste.
Aussi je noterai les films, sur 10.
J’essaierais de mettre à jour ce topic le plus fréquemment possible en fonction de l’actualité cinématographique et DVDstique (joli mot inventé ).
Aujourd’hui, je vais vous parler non pas d’un film, non pas de 2 films mais de 3 films. Une trilogie et quelle trilogie. Trilogie méconnue et qui mérite selon moi d’être mis totalement sur le devant de la scène : C’est la Trilogie « PUSHER ».
«Pusher » kesako c’te truc ? C’est une trilogie suédo-danoise réalisée par Nicolas Winding Refn (à tes souhaits).
La trilogie regroupe ‘Pusher’ réalisé en 1996, ‘Pusher 2 : Du sang sur les mains’ réalisé en 2004 et enfin ‘Pusher 3 : L’ange de la mort’ réalisé en 2005. On retrouve les mêmes acteurs dans les 1 et dans le 3 à 9 ans d'intervalle, belle performance…
Les films traitent du milieu de la petite et grande criminalité à Copenhague.
L’originalité de la trilogie est que chaque épisode est centré sur un personnage spécifique.
‘Pusher’ se concentre essentiellement sur Franck, vendeur d’héroïne. Sa dette envers le trafiquant serbe Milo l'incite à tenter un gros coup. Mais la police fait irruption pendant la transaction, et au cours de la poursuite qui s'ensuit, Frank perd à la fois la marchandise et l'argent. De rage, Frank expédie à l'hôpital son acolyte Tonny qui, selon la police l’aurait balancé. Mais Milo commence à s'impatienter et se fait menaçant. L'urgence de rassembler une importante somme d'argent pousse Frank à multiplier les imprudences. Il va jusqu'à solliciter quelques couronnes auprès de sa mère qu'il n'a pas vue depuis longtemps. En désespoir de cause, il achète une arme, et blesse l'homme de main de Milo avant de s'enfuir. Désormais en grave danger, il convainc son amie de l'aider à monter une ultime arnaque qui devrait lui permettre de quitter le pays dans les heures qui suivent...
Franck
‘Pusher 2’ se déroule quelques années après la premier film et narre cette fois les aventures de Tonny (qui s’est fait démonter le crâne par Franck dans le premier épisode, vous suivez ?).
Tonny sort de prison et retourne au garage qui sert de couverture pour sa liberté conditionnelle. Ce garage est en fait la planque de son père, dit Le Duc, qui règne avec brutalité sur un gang. Pour montrer sa bonne volonté, Tonny vole une Ferrari, mais son initiative est accueillie avec colère par son père, qui lui reproche d'avoir agi stupidement.
En même temps qu'il subit les humiliations paternelles, Tonny apprend qu'il a eu un fils. Il n'y croit pas au début, mais finit par se prendre d'affection pour un bébé que sa mère néglige.
Pour gagner un peu d'argent, Tonny s'associe avec un gangster dont la bêtise lui a valu le surnom de Kurt-le-con. Comme par hasard, le plan de Kurt échoue. Pour gagner du temps et faire croire qu'il a été victime d'un racket, Kurt demande à Tonny de lui tirer une
balle dans le bras et de vandaliser son appartement...
Tonny à un moment clef du film: la prise de conscience de son existence.
‘Pusher 3’ lui s’intéresse à Milo, le fameux trafiquant Serbe à qui Franck devait de l’argent dans le premier épisode. Milo, suit une thérapie de groupe pour soigner sa toxicomanie. Aujourd'hui, sa fille fête son 25e anniversaire, et il doit préparer un banquet pour une quarantaine de convives. En plein préparatif, il doit aussi veiller à ses affaires en cours. Il attend une livraison d'héroïne. A la place, il se retrouve avec des pilules d'ecstasy. Bien que ne connaissant rien à ce marché, Milo décide de garder la livraison et de la revendre. Mais ses lieutenants tombent malades, vraisemblablement intoxiqués par les pâtés préparés par Milo. Sous l'effet du stress, il succombe à la tentation de reprendre de la cocaïne. Là-dessus, son livreur de drogue lui demande de s'occuper d'un de ses amis proxénètes, qui cherche à vendre une de ses filles. La nuit est mal partie...
Milo
Cette trilogie est une expérience cinématographique incroyable. Les films sont à la fois bruts, choquants, naturels et incroyablement humains.
Le réalisateur Nicolas Winding Refn a décliné le projet Pusher en trilogie pour des raisons économiques. Les échecs commerciaux successifs de Bleeder (1999) et Inside job (2003) lui ayant laissé une ardoise d'un million de dollars, il a décidé de se repencher, huit ans plus tard, sur ce projet initial. Il revient sur la genèse de cette trilogie : "J'avais besoin d'un projet rapide à financer, qui se fasse impérativement au Danemark. Sachant que Pusher avait eu du succès, il paraissait facile de financer Pusher II. D'abord, l'idée m'a révolté. J'avais peur de l'échec artistique. Je pensais seulement le produire. Puis en cours d'écriture, l'idée de faire le troisième est arrivée, et ensuite le projet de financement combiné. On pouvait envisager l'ensemble comme une série. Après tout, la télévision était devenue excellente depuis 1996, et je ne voyais pas de mal à lui emprunter certaines recettes. Avec le recul, je trouve que la trilogie Pusher représente ce que j'ai fait de mieux. Je suis devenu un meilleur cinéaste."
Franck en plein pétage de plomb
A noter que dans le rôle de Tonny on retrouve Mads Mikkelsen, celui qui interprète Le Chiffre dans ‘Casino Royale’.
Pour les notes : Difficile de faire ressortir un épisode plus qu’un autre dans cette trilogie, ils se valent tous. Le 3 est d’une incroyable barbarie avec une scène atroce où Milo et son acolyte égorge un cadavre pour le vider de son sang et le découpe ensuite à la scie électrique (avec en bonus un système digestif qui passe au broyeur de l’évier, dégueulasse !!!). J’ai un petit faible pour le 2 où le crétin Tonny prend conscience du rôle qu’il a au sein de cette société pourrie. Le premier épisode est une véritable descente en enfer parfaitement orchestrée. Je noterais donc la trilogie : 9/10 facile.
Milo et son ami pour une scène bien gore.
Jetez-vous dessus, il existe le coffret de cette trilogie dans les bureaux de tabac pour 23€ !!!!! Une affaire en or massif.
Tonny et Franck dans le premier épisode
J’ai décidé d’ouvrir un nouveau topic où je vous parlerai régulièrement d’une de mes passions : le cinéma. Ce topic a pour but de vous faire découvrir un film que j’ai vu et qui m’a marqué, en bien ou en mal, que ce soit un film que j’ai vu il y a 20 au ciné ou hier en DVD. Bien entendu les avis sur les films sont propres à chaque personne et on peut vénérer un film que son voisin déteste.
Aussi je noterai les films, sur 10.
J’essaierais de mettre à jour ce topic le plus fréquemment possible en fonction de l’actualité cinématographique et DVDstique (joli mot inventé ).
Aujourd’hui, je vais vous parler non pas d’un film, non pas de 2 films mais de 3 films. Une trilogie et quelle trilogie. Trilogie méconnue et qui mérite selon moi d’être mis totalement sur le devant de la scène : C’est la Trilogie « PUSHER ».
«Pusher » kesako c’te truc ? C’est une trilogie suédo-danoise réalisée par Nicolas Winding Refn (à tes souhaits).
La trilogie regroupe ‘Pusher’ réalisé en 1996, ‘Pusher 2 : Du sang sur les mains’ réalisé en 2004 et enfin ‘Pusher 3 : L’ange de la mort’ réalisé en 2005. On retrouve les mêmes acteurs dans les 1 et dans le 3 à 9 ans d'intervalle, belle performance…
Les films traitent du milieu de la petite et grande criminalité à Copenhague.
L’originalité de la trilogie est que chaque épisode est centré sur un personnage spécifique.
‘Pusher’ se concentre essentiellement sur Franck, vendeur d’héroïne. Sa dette envers le trafiquant serbe Milo l'incite à tenter un gros coup. Mais la police fait irruption pendant la transaction, et au cours de la poursuite qui s'ensuit, Frank perd à la fois la marchandise et l'argent. De rage, Frank expédie à l'hôpital son acolyte Tonny qui, selon la police l’aurait balancé. Mais Milo commence à s'impatienter et se fait menaçant. L'urgence de rassembler une importante somme d'argent pousse Frank à multiplier les imprudences. Il va jusqu'à solliciter quelques couronnes auprès de sa mère qu'il n'a pas vue depuis longtemps. En désespoir de cause, il achète une arme, et blesse l'homme de main de Milo avant de s'enfuir. Désormais en grave danger, il convainc son amie de l'aider à monter une ultime arnaque qui devrait lui permettre de quitter le pays dans les heures qui suivent...
Franck
‘Pusher 2’ se déroule quelques années après la premier film et narre cette fois les aventures de Tonny (qui s’est fait démonter le crâne par Franck dans le premier épisode, vous suivez ?).
Tonny sort de prison et retourne au garage qui sert de couverture pour sa liberté conditionnelle. Ce garage est en fait la planque de son père, dit Le Duc, qui règne avec brutalité sur un gang. Pour montrer sa bonne volonté, Tonny vole une Ferrari, mais son initiative est accueillie avec colère par son père, qui lui reproche d'avoir agi stupidement.
En même temps qu'il subit les humiliations paternelles, Tonny apprend qu'il a eu un fils. Il n'y croit pas au début, mais finit par se prendre d'affection pour un bébé que sa mère néglige.
Pour gagner un peu d'argent, Tonny s'associe avec un gangster dont la bêtise lui a valu le surnom de Kurt-le-con. Comme par hasard, le plan de Kurt échoue. Pour gagner du temps et faire croire qu'il a été victime d'un racket, Kurt demande à Tonny de lui tirer une
balle dans le bras et de vandaliser son appartement...
Tonny à un moment clef du film: la prise de conscience de son existence.
‘Pusher 3’ lui s’intéresse à Milo, le fameux trafiquant Serbe à qui Franck devait de l’argent dans le premier épisode. Milo, suit une thérapie de groupe pour soigner sa toxicomanie. Aujourd'hui, sa fille fête son 25e anniversaire, et il doit préparer un banquet pour une quarantaine de convives. En plein préparatif, il doit aussi veiller à ses affaires en cours. Il attend une livraison d'héroïne. A la place, il se retrouve avec des pilules d'ecstasy. Bien que ne connaissant rien à ce marché, Milo décide de garder la livraison et de la revendre. Mais ses lieutenants tombent malades, vraisemblablement intoxiqués par les pâtés préparés par Milo. Sous l'effet du stress, il succombe à la tentation de reprendre de la cocaïne. Là-dessus, son livreur de drogue lui demande de s'occuper d'un de ses amis proxénètes, qui cherche à vendre une de ses filles. La nuit est mal partie...
Milo
Cette trilogie est une expérience cinématographique incroyable. Les films sont à la fois bruts, choquants, naturels et incroyablement humains.
Le réalisateur Nicolas Winding Refn a décliné le projet Pusher en trilogie pour des raisons économiques. Les échecs commerciaux successifs de Bleeder (1999) et Inside job (2003) lui ayant laissé une ardoise d'un million de dollars, il a décidé de se repencher, huit ans plus tard, sur ce projet initial. Il revient sur la genèse de cette trilogie : "J'avais besoin d'un projet rapide à financer, qui se fasse impérativement au Danemark. Sachant que Pusher avait eu du succès, il paraissait facile de financer Pusher II. D'abord, l'idée m'a révolté. J'avais peur de l'échec artistique. Je pensais seulement le produire. Puis en cours d'écriture, l'idée de faire le troisième est arrivée, et ensuite le projet de financement combiné. On pouvait envisager l'ensemble comme une série. Après tout, la télévision était devenue excellente depuis 1996, et je ne voyais pas de mal à lui emprunter certaines recettes. Avec le recul, je trouve que la trilogie Pusher représente ce que j'ai fait de mieux. Je suis devenu un meilleur cinéaste."
Franck en plein pétage de plomb
A noter que dans le rôle de Tonny on retrouve Mads Mikkelsen, celui qui interprète Le Chiffre dans ‘Casino Royale’.
Pour les notes : Difficile de faire ressortir un épisode plus qu’un autre dans cette trilogie, ils se valent tous. Le 3 est d’une incroyable barbarie avec une scène atroce où Milo et son acolyte égorge un cadavre pour le vider de son sang et le découpe ensuite à la scie électrique (avec en bonus un système digestif qui passe au broyeur de l’évier, dégueulasse !!!). J’ai un petit faible pour le 2 où le crétin Tonny prend conscience du rôle qu’il a au sein de cette société pourrie. Le premier épisode est une véritable descente en enfer parfaitement orchestrée. Je noterais donc la trilogie : 9/10 facile.
Milo et son ami pour une scène bien gore.
Jetez-vous dessus, il existe le coffret de cette trilogie dans les bureaux de tabac pour 23€ !!!!! Une affaire en or massif.
Tonny et Franck dans le premier épisode
CHAQUE TEMPS CHAQUE MODE, CHAQUE CUL CHAQUE CROTTE
- hobbes
- Quinte
- Messages : 2304
- Inscription : Samedi 03 Décembre 2005 16:04
- Pseudo Winamax : hobbes59
- Adhérent assocation
bordel je devais aller voir cette trilogie l'année dernière, mais depuis que je joue au pok, ma carte ugc sert un peu moins qu'avant et je l'avais ratée
"Chuck Norris has the greatest Poker-Face of all time. He won the 1983 World Series of Poker, despite holding only a Joker, a Get out of Jail Free Monopoloy card, a 2 of clubs, 7 of spades and a green #4 card from the game UNO."
pour moi la trilogie c'est.......la memoire dans la peau , la mort dans la peau, et en septembre la Vengeance dans la peau avec MATT DAMON
Mais bon d'autres TRILOGIES existent.....SAW....etc
Mais bon d'autres TRILOGIES existent.....SAW....etc
Einstein a écrit :Il existe 3 types de Mathématiciens, ceux qui savent compter, et ceux qui ne savent pas....
corti59 a écrit :pour moi la trilogie c'est.......la memoire dans la peau , la mort dans la peau, et en septembre la Vengeance dans la peau avec MATT DAMON
Mais bon d'autres TRILOGIES existent.....SAW....etc
T'en fait un beau de SAW...
Et Indiana, Le Parrain, la trilogie du $ de Léone... ca a quand même plus de gueule !
En tout cas, bien vu canard ! Je me demandais bien ce que ca pouvait donné une trilogie avec Chriss "backtatoo" sur l'affiche
Voici un nouveau film que j’aimerais vous présenter. Pour moi ce film c’est THE FILM.
Il s’agit tout simplement de mon film préféré dans mon genre préféré. C’est mon film à moi, personne n’a le droit d’en dire du mal (sinon j’lui troue l’fion ).
THE THING
La première fois que j’ai vu ce film, j’avais tout juste 8 ans (le jour de mon anniversaire, j’m’en souviens comme si c t hier). Mes potes m’avaient ramené des cadeaux divers et parmis eux il y avait un cadeau en forme de cube. J’arrache l’emballage et je m’apérçois que c’est une compilation de 5 ou 6 VHS. Parmi elles, il y a ‘The Thing’ (les autres je ne m’en souviens plus). La fête terminée, j’hésite entre les films et finalement je mets la VHS de ‘The Thing’ dans le magnétoscope (tain ça fait drôle d’écrire magnétoscope aujourd’hui !!!) et c’est parti pour la claque, The claque, The snap, de ma vie !!!!! Le film à peine terminé, je rembobine la bande et hop, seconde vision à la suite.
Quoi? T'as trop froid? T'inquiètes ça va passer...
Le genre : Horreur-Epouvante.
L’année : 1982.
Le réalisateur : John Carpenter (Assaut, New York 1997, Christine, l’antre de la folie, Vampires, …).
Quoi? Maintenant t'as trop chaud? Tain tu fais chier, faut savoir!!!
‘The Thing’ est un remake de ‘The Thing from Another World’ datant de 1951 et réalisé par Christian Niby et Howard Hawks (qui est aussi le scénariste et producteur du film) et basé sur une nouvelle de John W. Campbell ("Who goes there ?" 1938).
Interprête principal : Kurt Russell.
L’histoire : Hiver 82 - Antarctique. Un chien se fait poursuivre par un hélicoptère norvégien. Il arrive dans un campement américain. Les deux membres de l'hélicoptère sont abattus. Les Américains se rendent dans la base norvégienne et découvrent que tous les membres ont été tués. Ils mettent également à jour le cadavre d'une créature de nature inconnue. Ils la ramènent à la base afin de pratiquer une autopsie. Des phénomènes étranges commencent à se produire dans le campement. Le chien devient fou furieux et doit être abattu. C'est alors qu'apparaît une "chose" monstrueuse, pouvant prendre de nombreuses formes et infecter des organismes vivants. Bientôt, la paranoïa envahit le petit groupe, en lutte avec la Chose...
Découverte de la soucoupe.
Analyse (Tiré d’un site web avec lequel je suis entièrement d’accord) : Carpenter nous livre un film empreint de paranoïa, de solitude et d’un pessimisme à toute épreuve. Bien qu’il ait gardé quelques idées du premier film, son adaptation reste beaucoup plus fidèle à la nouvelle d’origine par quelques éléments clés : les noms des protagonistes, l'absence de toute femme, la séquence des test sanguins, la capacité d’assimilation de la Chose, les monstres tentaculaires qu’elle engendre lors des transformations et la fin promettant une invasion globale.
Les effets spéciaux plus que spectaculaires ont été réalisés par un Rob Bottin tout jeune ayant gagné un concours de dessin organisé par le magazine américain Fangoria, pour justement imaginer cette chose devant figurer dans le film de Carpenter. Il nous a concocté un florilège impressionnant d’humains torturés, de chiens abominables, de tête arachnéenne, de poitrine à la mâchoire de requin, entre autres, comme habité par l’esprit d’un Lovecraft sous acides !
Ses créations furent gardées si secrètes qu’aucune photo ne fut prise durant la production et que tous les acteurs avaient pour interdiction d’en parler, réservant l’entière surprise à un public de ce fait non averti et, on s’en doute, encore sous le choc longtemps après.
Le héros du film, MacReady (Kurt Russell, aussi inoubliable que dans son rôle de Snake Plissken) correspond en tous points au protagoniste de la nouvelle, tant physiquement que moralement. Il est entouré d’acteurs campant à merveille leurs personnages non stéréotypés, ayant tous le point commun d’hommes bourrus acceptant de passer des mois et des mois dans la solitude glaciale de l’Antarctique. Ils sont plongés dans une horreur inimaginable et doivent puiser en eux les ressources nécessaires pour lutter tout en sachant que tous ne s’en sortiront pas vivants. Leur peur panique est palpable, accrue par la claustrophobie des lieux, mais poussés par leur instinct de survie, ils vont faire face jusqu’au bout.
Carpenter démontre ici tous ses talents de réalisateur exceptionnel avec un matériau qui lui tient particulièrement à cœur. Il filme tout à son aise et en détails glorieusement gore, ne laissant aucune chance au spectateur de reprendre son souffle. La musique angoissante d’Ennio Morricone accompagne le tout à merveille, dont certains passages rappellent les notes synthétiques composées par Carpenter lui-même dans ses autres films.
Réveil de Zébul... heu non c'est la transformation de Norris
La séquence la plus terrifiante du film est sans doute celle des test sanguins. Sachant que la Chose d’origine n’a pas de forme prédéfinie, le sang contaminé devrait réagir avec violence contre un fil de fer chauffé au rouge plongé dans un échantillon. Tout le monde est attaché, le suspense est insoutenable, accentué par le manque de musique. Qui a été investi ? Le test se révèlera bien sûr positif pour certains, entraînant un déferlement de violence sanglant hors pair.
Le film fut tourné en 12 semaines en studio à Los Angeles où la température fut maintenue en dessous de zéro afin de rendre l’action plus réaliste. Une semaine se déroula sur le glacier Taku, situé sur le champ de glace Juneau en Alaska, et quelques scènes d’extérieur supplémentaires furent tournées à Stewart, endroit se situant le plus au nord de la côte ouest du Canada.
"The Thing" est le meilleur film de science-fiction/horreur viscérale de tous les temps, malgré le fait qu'il fut boudé à sa sortie, obtenant son statut de film culte seulement bien plus tard et en vidéo.
La transformation de Norris
Ma note : Pour moi, ce film est sans défaut. Il date de 1982 et pourtant il ne prend aucune ride. Le regarder aujourd’hui est toujours aussi intense et jouissif qu’il y a 10 ans. Jamais un film ne m’a autant marqué, jamais l’ennui ou la lassitude ne me gagne à chaque nouvelle vision. The Thing est mon film préféré de tous les temps, c’est le chef d’œuvre absolu du 7ème art. C’est le seul film à mes yeux qui mérite un 10/10.
Bande annonce : http://www.allocine.fr/video/player_gen ... =1048.html
MacReady explorant le base Norvégienne...
Extraits :
- La transformation de Norris : http://www.youtube.com/watch?v=Mk_TEbr7 ... ed&search=
- Le test sanguin : http://www.youtube.com/watch?v=b_VJEYFz ... ed&search=
Il s’agit tout simplement de mon film préféré dans mon genre préféré. C’est mon film à moi, personne n’a le droit d’en dire du mal (sinon j’lui troue l’fion ).
THE THING
La première fois que j’ai vu ce film, j’avais tout juste 8 ans (le jour de mon anniversaire, j’m’en souviens comme si c t hier). Mes potes m’avaient ramené des cadeaux divers et parmis eux il y avait un cadeau en forme de cube. J’arrache l’emballage et je m’apérçois que c’est une compilation de 5 ou 6 VHS. Parmi elles, il y a ‘The Thing’ (les autres je ne m’en souviens plus). La fête terminée, j’hésite entre les films et finalement je mets la VHS de ‘The Thing’ dans le magnétoscope (tain ça fait drôle d’écrire magnétoscope aujourd’hui !!!) et c’est parti pour la claque, The claque, The snap, de ma vie !!!!! Le film à peine terminé, je rembobine la bande et hop, seconde vision à la suite.
Quoi? T'as trop froid? T'inquiètes ça va passer...
Le genre : Horreur-Epouvante.
L’année : 1982.
Le réalisateur : John Carpenter (Assaut, New York 1997, Christine, l’antre de la folie, Vampires, …).
Quoi? Maintenant t'as trop chaud? Tain tu fais chier, faut savoir!!!
‘The Thing’ est un remake de ‘The Thing from Another World’ datant de 1951 et réalisé par Christian Niby et Howard Hawks (qui est aussi le scénariste et producteur du film) et basé sur une nouvelle de John W. Campbell ("Who goes there ?" 1938).
Interprête principal : Kurt Russell.
L’histoire : Hiver 82 - Antarctique. Un chien se fait poursuivre par un hélicoptère norvégien. Il arrive dans un campement américain. Les deux membres de l'hélicoptère sont abattus. Les Américains se rendent dans la base norvégienne et découvrent que tous les membres ont été tués. Ils mettent également à jour le cadavre d'une créature de nature inconnue. Ils la ramènent à la base afin de pratiquer une autopsie. Des phénomènes étranges commencent à se produire dans le campement. Le chien devient fou furieux et doit être abattu. C'est alors qu'apparaît une "chose" monstrueuse, pouvant prendre de nombreuses formes et infecter des organismes vivants. Bientôt, la paranoïa envahit le petit groupe, en lutte avec la Chose...
Découverte de la soucoupe.
Analyse (Tiré d’un site web avec lequel je suis entièrement d’accord) : Carpenter nous livre un film empreint de paranoïa, de solitude et d’un pessimisme à toute épreuve. Bien qu’il ait gardé quelques idées du premier film, son adaptation reste beaucoup plus fidèle à la nouvelle d’origine par quelques éléments clés : les noms des protagonistes, l'absence de toute femme, la séquence des test sanguins, la capacité d’assimilation de la Chose, les monstres tentaculaires qu’elle engendre lors des transformations et la fin promettant une invasion globale.
Les effets spéciaux plus que spectaculaires ont été réalisés par un Rob Bottin tout jeune ayant gagné un concours de dessin organisé par le magazine américain Fangoria, pour justement imaginer cette chose devant figurer dans le film de Carpenter. Il nous a concocté un florilège impressionnant d’humains torturés, de chiens abominables, de tête arachnéenne, de poitrine à la mâchoire de requin, entre autres, comme habité par l’esprit d’un Lovecraft sous acides !
Ses créations furent gardées si secrètes qu’aucune photo ne fut prise durant la production et que tous les acteurs avaient pour interdiction d’en parler, réservant l’entière surprise à un public de ce fait non averti et, on s’en doute, encore sous le choc longtemps après.
Le héros du film, MacReady (Kurt Russell, aussi inoubliable que dans son rôle de Snake Plissken) correspond en tous points au protagoniste de la nouvelle, tant physiquement que moralement. Il est entouré d’acteurs campant à merveille leurs personnages non stéréotypés, ayant tous le point commun d’hommes bourrus acceptant de passer des mois et des mois dans la solitude glaciale de l’Antarctique. Ils sont plongés dans une horreur inimaginable et doivent puiser en eux les ressources nécessaires pour lutter tout en sachant que tous ne s’en sortiront pas vivants. Leur peur panique est palpable, accrue par la claustrophobie des lieux, mais poussés par leur instinct de survie, ils vont faire face jusqu’au bout.
Carpenter démontre ici tous ses talents de réalisateur exceptionnel avec un matériau qui lui tient particulièrement à cœur. Il filme tout à son aise et en détails glorieusement gore, ne laissant aucune chance au spectateur de reprendre son souffle. La musique angoissante d’Ennio Morricone accompagne le tout à merveille, dont certains passages rappellent les notes synthétiques composées par Carpenter lui-même dans ses autres films.
Réveil de Zébul... heu non c'est la transformation de Norris
La séquence la plus terrifiante du film est sans doute celle des test sanguins. Sachant que la Chose d’origine n’a pas de forme prédéfinie, le sang contaminé devrait réagir avec violence contre un fil de fer chauffé au rouge plongé dans un échantillon. Tout le monde est attaché, le suspense est insoutenable, accentué par le manque de musique. Qui a été investi ? Le test se révèlera bien sûr positif pour certains, entraînant un déferlement de violence sanglant hors pair.
Le film fut tourné en 12 semaines en studio à Los Angeles où la température fut maintenue en dessous de zéro afin de rendre l’action plus réaliste. Une semaine se déroula sur le glacier Taku, situé sur le champ de glace Juneau en Alaska, et quelques scènes d’extérieur supplémentaires furent tournées à Stewart, endroit se situant le plus au nord de la côte ouest du Canada.
"The Thing" est le meilleur film de science-fiction/horreur viscérale de tous les temps, malgré le fait qu'il fut boudé à sa sortie, obtenant son statut de film culte seulement bien plus tard et en vidéo.
La transformation de Norris
Ma note : Pour moi, ce film est sans défaut. Il date de 1982 et pourtant il ne prend aucune ride. Le regarder aujourd’hui est toujours aussi intense et jouissif qu’il y a 10 ans. Jamais un film ne m’a autant marqué, jamais l’ennui ou la lassitude ne me gagne à chaque nouvelle vision. The Thing est mon film préféré de tous les temps, c’est le chef d’œuvre absolu du 7ème art. C’est le seul film à mes yeux qui mérite un 10/10.
Bande annonce : http://www.allocine.fr/video/player_gen ... =1048.html
MacReady explorant le base Norvégienne...
Extraits :
- La transformation de Norris : http://www.youtube.com/watch?v=Mk_TEbr7 ... ed&search=
- Le test sanguin : http://www.youtube.com/watch?v=b_VJEYFz ... ed&search=
CHAQUE TEMPS CHAQUE MODE, CHAQUE CUL CHAQUE CROTTE
Je penses que j'avais pas 8 ans mais plus dans les 11/12 ... film anodin loué au videoclub par mon frerot (ainé) surement un soir ou mes vieux etaient en vadrouille ....
Et je ne m'attendais absolument pas a ca Je pensais voir un film d'aventure/action banal et pouf le thriller fantastique qui débarque comme ca sans prévenir ... excellent
Par contre j'aurais quelques réticences à le matter a nouveau de peur d'etre décu par les effets speciaux... ca date un poil qd meme
Et je ne m'attendais absolument pas a ca Je pensais voir un film d'aventure/action banal et pouf le thriller fantastique qui débarque comme ca sans prévenir ... excellent
Par contre j'aurais quelques réticences à le matter a nouveau de peur d'etre décu par les effets speciaux... ca date un poil qd meme
"Les hommes naissent libres et égaux, mais certains sont plus égaux que d’autres" Coluche
- BorisBarzof
- Deux paires
- Messages : 684
- Inscription : Mercredi 21 Mars 2007 01:09
J’aimerais vous présenter aujourd’hui un film qui m’a littéralement bouleversé sur le plan émotionnel (ben vi, j’ai un ptit cœur fragile moi, faut pas croire…). C’est un film d’animation qui m’a fait tiré des litres de larmes !!!
LE TOMBEAU DES LUCIOLES
Le Tombeau des lucioles est un film d’animation japonais. Je l’ai vu pour la première fois très tardivement, c’était il y a 5 ans seulement (alors que le film date de 1988).
J’étais à la Fnac de Lille et j’avais une quarantaine d’euros en poche. Ayant regardé un manga la veille (Blood : The last Vampire, génialissime), je me suis mis en tête d’aller m’acheter un autre manga. J’ai déjà pas mal de manga (Akira, Ghost in the shell, Ninja Scroll, Vampire D, …) et le rayon de la Fnac concernant ces films n’étant pas très grand, mon choix était vite fait. J’ai bloqué sur le Coffret du tombeau des lucioles qui était couvert de louanges de la part de la presse spécialisée. J’ai lu le synopsis à l’arrière et au premier abord ça ne me disait pas plus que ça, car je voulais avant tout un manga d’action, de science fiction voire d’horreur. Toutefois j’ai décidé de faire confiance aux critiques écrites sur le boîtier et je passe en caisse avec le DVD (non j’l’ai pas chouré). Le soir même, 30 litres de larmes me coulaient le long des joues, je me suis pris une claque émotionnelle comme rarement on en prend (même l’annonce du mariage de Charlize Theron ne m’avait pas autant affecté).
Le genre : Animation, guerre, drame.
L’année : 1982.
Le réalisateur : Isao Takahata (Pompoko, Goshu le violoncelliste, …)
L’histoire : Japon, été 1945. Après le bombardement de Kobé, Seita, un adolescent de quatorze ans et sa petite soeur de quatre ans, Setsuko, orphelins, vont s'installer chez leur tante à quelques dizaines de kilomètres de chez eux. Celle-ci leur fait comprendre qu'ils sont une gêne pour la famille et doivent mériter leur riz quotidien. Seita décide de partir avec sa petite soeur. Ils se réfugient dans un bunker désaffecté en pleine campagne et vivent des jours heureux illuminés par la présence de milliers de lucioles. Mais bientôt la nourriture commence cruellement à manquer.
Analyse : 2 mots : Bouleversant, magnifique. Ce film est très éprouvant émotionnellement et je n’exagère rien. Voir ces 2 enfants rejetés et livrés à eux même est une vision de la guerre trop peu souvent exploitée dans les films. Le film alterne entre moments de bonheur et moments bouleversants. Je voudrais juste prendre une scène pour exemple : Setsuko à la fin du film prépare des boulettes qu’elle croit être des boulettes de viande et en propose à son grand frère. En fait elles sont faites avec de la terre. Ca a l’air con comme ça, mais regardez cette scène, la façon dont les personnages sont dessinés, le jeu de lumières, les expressions du visage, la gestuelle des enfants, etc, et vous vous retrouverez ni plus ni moins face à l’une des scènes les plus tristes de l’histoire du cinéma. Nounours comme je suis j’ai chiallé comme si je venais de découvrir que j’avais perdu mon pucelage avec un travesti. Rien que d’en parlé j’ai ma ptite larme qui se pointe tiens (Casse toi connasse !!!!). Et cette musique, punaise!!!! Le tombeau des lucioles fait incontestablement parti de mon top 3 des films d'animation. Toutes les personnes que je connais qui ont vu ce film ont étés marquées, toutes!!!!
La bande annonce : http://www.dailymotion.com/fr/search/le ... cioles-amv
Ma note : 9/10. Je ne peux pas mettre moins et je ne veux pas mettre plus car il y a 2 ou 3 scènes du film que je trouve dispensables. Vous trouverez une version simple du film à 9.99€ ou la version collector à 24.99€. Ruez vous dessus, c’est un ordre.
LE TOMBEAU DES LUCIOLES
Le Tombeau des lucioles est un film d’animation japonais. Je l’ai vu pour la première fois très tardivement, c’était il y a 5 ans seulement (alors que le film date de 1988).
J’étais à la Fnac de Lille et j’avais une quarantaine d’euros en poche. Ayant regardé un manga la veille (Blood : The last Vampire, génialissime), je me suis mis en tête d’aller m’acheter un autre manga. J’ai déjà pas mal de manga (Akira, Ghost in the shell, Ninja Scroll, Vampire D, …) et le rayon de la Fnac concernant ces films n’étant pas très grand, mon choix était vite fait. J’ai bloqué sur le Coffret du tombeau des lucioles qui était couvert de louanges de la part de la presse spécialisée. J’ai lu le synopsis à l’arrière et au premier abord ça ne me disait pas plus que ça, car je voulais avant tout un manga d’action, de science fiction voire d’horreur. Toutefois j’ai décidé de faire confiance aux critiques écrites sur le boîtier et je passe en caisse avec le DVD (non j’l’ai pas chouré). Le soir même, 30 litres de larmes me coulaient le long des joues, je me suis pris une claque émotionnelle comme rarement on en prend (même l’annonce du mariage de Charlize Theron ne m’avait pas autant affecté).
Le genre : Animation, guerre, drame.
L’année : 1982.
Le réalisateur : Isao Takahata (Pompoko, Goshu le violoncelliste, …)
L’histoire : Japon, été 1945. Après le bombardement de Kobé, Seita, un adolescent de quatorze ans et sa petite soeur de quatre ans, Setsuko, orphelins, vont s'installer chez leur tante à quelques dizaines de kilomètres de chez eux. Celle-ci leur fait comprendre qu'ils sont une gêne pour la famille et doivent mériter leur riz quotidien. Seita décide de partir avec sa petite soeur. Ils se réfugient dans un bunker désaffecté en pleine campagne et vivent des jours heureux illuminés par la présence de milliers de lucioles. Mais bientôt la nourriture commence cruellement à manquer.
Analyse : 2 mots : Bouleversant, magnifique. Ce film est très éprouvant émotionnellement et je n’exagère rien. Voir ces 2 enfants rejetés et livrés à eux même est une vision de la guerre trop peu souvent exploitée dans les films. Le film alterne entre moments de bonheur et moments bouleversants. Je voudrais juste prendre une scène pour exemple : Setsuko à la fin du film prépare des boulettes qu’elle croit être des boulettes de viande et en propose à son grand frère. En fait elles sont faites avec de la terre. Ca a l’air con comme ça, mais regardez cette scène, la façon dont les personnages sont dessinés, le jeu de lumières, les expressions du visage, la gestuelle des enfants, etc, et vous vous retrouverez ni plus ni moins face à l’une des scènes les plus tristes de l’histoire du cinéma. Nounours comme je suis j’ai chiallé comme si je venais de découvrir que j’avais perdu mon pucelage avec un travesti. Rien que d’en parlé j’ai ma ptite larme qui se pointe tiens (Casse toi connasse !!!!). Et cette musique, punaise!!!! Le tombeau des lucioles fait incontestablement parti de mon top 3 des films d'animation. Toutes les personnes que je connais qui ont vu ce film ont étés marquées, toutes!!!!
La bande annonce : http://www.dailymotion.com/fr/search/le ... cioles-amv
Ma note : 9/10. Je ne peux pas mettre moins et je ne veux pas mettre plus car il y a 2 ou 3 scènes du film que je trouve dispensables. Vous trouverez une version simple du film à 9.99€ ou la version collector à 24.99€. Ruez vous dessus, c’est un ordre.
Dernière édition par Duckducky le Mardi 19 Juin 2007 13:53, édité 1 fois.
CHAQUE TEMPS CHAQUE MODE, CHAQUE CUL CHAQUE CROTTE
il déssoude ce film...
Sinon, je vais pas aller dans le détail, mais voici mes 5 films essentiels
1)
L'Hexalogie Star Wars avec notament une 2 e trilogie qui me semble excessivement et bêtement critiquée. Faut-il revenir sur les multiples qualités de la saga de George Lucas?
2)
Le génie à l'état pur. Le poids de l'Histoire. un classique parmi les classiques
3)
Las Vegas Parano : parce que Terry Gilliam, Johnny Depp, Benicio Del Toro pour un road movie bourré aux acides, ce film vous prends dans un trip non stop de deux heures. Hommage au regreté Hunter S Thompson
4)
Snatch, un des seuls films réussis de Guy Ritchie, un super casting, un humour grinçant et une histoire complètement barrée
5)
Dark City/Fight CLub
Fight club est un film unanimement apprécié, casting génial et les acteurs sont dans un de leur meilleur rôle
Quand à Dark City, je le conseille à tous ceux qui ne jurent que par Matrix....film culte du fantastique..
Sinon, je vais pas aller dans le détail, mais voici mes 5 films essentiels
1)
L'Hexalogie Star Wars avec notament une 2 e trilogie qui me semble excessivement et bêtement critiquée. Faut-il revenir sur les multiples qualités de la saga de George Lucas?
2)
Le génie à l'état pur. Le poids de l'Histoire. un classique parmi les classiques
3)
Las Vegas Parano : parce que Terry Gilliam, Johnny Depp, Benicio Del Toro pour un road movie bourré aux acides, ce film vous prends dans un trip non stop de deux heures. Hommage au regreté Hunter S Thompson
4)
Snatch, un des seuls films réussis de Guy Ritchie, un super casting, un humour grinçant et une histoire complètement barrée
5)
Dark City/Fight CLub
Fight club est un film unanimement apprécié, casting génial et les acteurs sont dans un de leur meilleur rôle
Quand à Dark City, je le conseille à tous ceux qui ne jurent que par Matrix....film culte du fantastique..
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