Retour du paintball !
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- aurelsnake
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zelyh a écrit :Vraiment très sympa !!
J'ai beaucoup aimé !
A refaire !
Et merci beaucoup à Johan pour l'organisation !!
Effectivement elle m'a dit qu'elle avait beaucoup aimé tirer à bout portant, que c'était à refaire, que c'"tait vraiment très sympa
Premier freeroll de l'année les 14 et 15 février 2015 au bowling Van Gogh !
- shootagain
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- aurelsnake
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- shootagain
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aurelsnake a écrit :Bibice1 a écrit :shootagain a écrit :gg aux payés
et tout et tout
bibice, arrête de flooder
477 ca devient bon
et pourquoi vous etes pas venus vous ?
j'aurai bien tiré sur vous aussi...
tu va rire mais pendant que vuos faisiez la guerre moi j'avais le 43 RI au troquet
sérieux
enfin juste la fanfarae mais niéé quoi
Mes petits soucis de conection ne m'ayant pas permis de remercier Johan pour cette après midi à crapahuter dans la boue je tente le rattrapage...
Bien que n’étant pas spécialement attiré par les armes et leurs utilisations, je n’en reste pas moins un grand gamin toujours prêts à jouer aux cow-boys et aux Iraquiens, si l’on ajoute à cela un sens aigue de l’expérimentation en tout genre, on obtient les raisons de mon call hasardeux à l’appel de Johan pour une après midi Pain ball.
Le premier challenge est de trouver le site, camouflé tel un camp militaire derrière une végétation dense et des panneaux de bois. Je tourne quelques minutes avant de débusquer les deux premiers grenadiers voltigeurs prêts à en découdre, l’occasion pour moi de faire la connaissance de Zébulon et touf puisque Johan, Arnaud et Mélanie qui ferment la marche n’arriveront qu’une bonne demi-heure plus tard.
L’Etat major où nous attends notre sergent instructeur se trouve au milieu du champ de bataille. Et des troupes sont d’ore et déjà en train d’essuyer un assaut appuyé. Nous attendons donc prudemment que les tirs ne cessent avant de rejoindre ce qui sera notre repaire d’un jour. Le confort y est spartiate ! Quelques planches pour la structure, deux tables en bois sur lesquels sont posés les armes et équipement de protection, un comptoir derrière lequel l’armurier s’active. D’ici nous ne pouvons observer la zone à conquérir que par une étroite ouverture grillagé. Les troupes repliées au QG entre 2 batailles commentent les dernières actions et choix stratégique, le souffle court, le visage couvert de sueur et de boue, on devine quelques traces d’impact sur leurs tenues trempées. Putain de guerre ! Je pense aux braves déjà perdus et à ceux de mes camarades qui ne finiront pas cette triste journée…
Notre sergent instructeur nous prend finalement en charge, il est gaulé comme un G.I Joe ! Une lueur lubrique traverse le regard du première classe Zelyh tandis qu’il nous entraine un peu à l’écart du brouhaha des soldats contant leurs exploits afin de nous donner les consignes de sécurités :
- « N’ôtez jamais votre casque hors de la zone sécurisé ! Quelque soit votre problème ! Compris ?»
- « Chef ! Oui chef ! »
- « Sécurisation des armes en zone neutre ! Compris ? »
- « Chef ! Oui Chef ! »
- « Chaque impact compte, même sans éclatement de la bille ! Lorsqu’on est atteint on lève le bras et retourne à son fort ! Compris ? »
- « Chef ! Oui Chef ! »
- « On ouvre pas le feu sur un individu qui se rends ! compris ? »
- « Chef ! Oui chef ! »
- « On ne tire pas à moins de 10m ! Compris ? »
- « Chef ! Oui chef ! »… « Heuuuu, Même sur Johan… »
- « Tu fais le malin deuxième classe G-rempok ? Quand t’auras pris une bastos à bout portant t’auras moins de bouche ! T’as envi de te prendre une bastos à bout portant deuxième classe G-rempok ? »
- « heu… ben non… »
- « Non qui ? »
- « Heu… non chef ? »
- « J’ai pas entendu ! t’as dit quelque chose ou t’es déjà en train de chialer ? »
- « Chef ! Non chef »
- « Bon, maintenant votre équipement ! Vous disposez d’un lanceur d’une portée de 25m en tir tendu. Avec une pression de 2 bars projetant votre munition à 250 km / h en sortie de canon. C’est un équipement fiable et performant. Prenez en soin. Une fois dehors ce sera votre meilleur ami ! A chaque break en zone sécurisé vous en contrôlerez la pression, vous ne devez JAMAIS descendre en dessous d’1 bar de pression. Ai-je était clair ? »
- « Chef ! oui Chef ! »
- « Combien de bar deuxième classe G-rempok »
- « Négatif chef, j’ai pas était au bar ! Rien but de la journée »
- « Bordel de cul ! t’es idiot ou tu te fous de ma gueule ? »
- « J’me fous pas de votre gueule chef ! »
- « C’est qui ton meilleur amis deuxième classe Christophilus ? »
- « Bah avant c’était pierre, mais il m’a trop chatté dessus la dernière fois alors je lui parle plus, et maintenant c’est … »
- « J’en ai rien à foutre de tes histoires Deuxième classe Christophilus… Qui c’est qui m’a foutu cette bande d’incapables ! Vous allez en baver croyez moi ! C’est qui ton meilleur ami deuxième classe Petit nuage ? »
- « C’est mon lanceur chef ! »
- « Correct petit nuage ! t’as un nom de gonzesse mais au moins il te reste 2 neurones qui fonctionnent ! »
- « Bon, maintenant je vais vous donner vos armes, vous participerez au prochain assaut avec l’équipe déjà en place, alors si vous voulez dire quelque chose à votre maman c’est le moment de l’appeler ! A mon commandement… Rompez les rangs ! »
Nous nous armons et équipons en silence, dans quelques secondes nous serons dehors, à découvert… Notre groupe de départ a été répartis dans les deux camps, Johan, Zelyh, Petit nuage, christophilus et Zeb seront désormais mes ennemis, tandis que ma vie dépendra entre autre de touf et Didier.
- « Votre mission est de capturer le drapeau et de l’amener dans le fort adverse ! Vous disposez de 15 min ! Compris ! »
- « Chef ! Oui Chef ! »
- « Alors à l’assaut »
Je sors du QG pour effectuer le premier assaut, déverrouille mon arme et court en direction de mon fort ou je rejoins mes compagnons d’infortune.
- « Salut les gars, moi c’est G-rem »
- « T’as déjà combattu ? »
- « Pas vraiment en fait… »
- « Bon tu nous couvre sur la gauche, fait gaffe à pas…. Putain ils sont partis ! allez vite en avant ! »
- « Fais gaffe à pas quoi ? » Ma question restera sans réponse…
Je cours dans la boue, mes jambes sont lourde, les épaisseurs de tissus m’encombrent, je souffle dans mon masque dont la visière se couvre de buée, les balles sifflent autour de moi, je me planque derrière un mur pour visualiser la situation… Nous avons pris position dans le camp adverse, le drapeau est à quelques mettre, dans une tranchée boueuse. Trois ennemis sont derrière une bute en terre, je dois les contourner pour dégager la zone, je retiens mon souffle et sort de ma planque en rampant, les épines se plante dans mes mains sans protections. Encor quelques mettre et je serais en position pour les prendre à revers, ça y est, j’y suis, je me dresse sur mes jambes et cours en direction de la position ennemie, je suis à moins de 10m, je crie :
- « t’es out ! »
Zelyh se retourne, surprise, et m’envoie une rafale à 3 mettre, je sens les impacts des balles qui éclatent sur mon plastron… Je suis salement touché, je lève le bras et entame mon rapatriement vers le fort ou je serais soigné….
Les 15 minutes mon totalement essoufflé. Une fois à l’abri j’ôte mon masque, mon Loader est encor à moitié plein, inutile de recharger, je fais remettre un peu de pression dans ma bombonne de gaz, reprends mon souffle et repars pour un second assaut. Nous ne sommes plus que 9, c’est une bataille shorthanded entre PKL. Le terrain à été réduit afin d’être mieux adapté à notre effectif.
Nous essayons de définir une stratégie dans le peu de temps qui nous est impartis. Nos avis divergent. Je suis, comme à mon habitude, plus enclin à une offensive franche, tandis que touf, plus serré, estime plus judicieux de prendre et tenir la position autour du drapeau. Nous finissons par opter pour l’offensive, je me porte volontaire pour saisir et protéger le drapeau.
Cette fois j’ai oublié mes jambes, je suis focalisé sur mon objectif, je pense drapeau, je vis drapeau, je cours, me positionne, et, une fois assuré que touf me couvre, je me jette sur le drapeau que je saisi avant de me remettre à couvert.
Nous avons le drapeau, mais eux on prit position pour nous barrer le passage, il faut avancer, je me jette dans l’ouverture mais suis stopper par une rafale quelques mettre plus loin, je lâche mon précieux butin sur place et retourne, le bras tendu, vers mon fort.
Touf réagit immédiatement et se précipite vers le drapeau, mais trahit par le terrain boueux et accidenté, il s’écroule littéralement avant de se faire shooter au sol par nos ennemis peu scrupuleux…
Nous sommes tout deux sur le chemin du retour lorsque nous voyons passer Johan en courant, il a le drapeau, il n’est plus qu’à une trentaine de mettre de la victoire. Touf se lance à sa poursuite, il doit arriver avant lui au fort et le shooter, trop tard, ils nous ont vaincus, nous n’avons plus qu’a nous rendre, je doute que nos adversaires ne respectent les accords de Genève après les avoir vu abattre mon compagnon alors qu’il avait un genou à terre, il va falloir tenir, ne pas parler…
Bien qu’ayant perdu la dernière bataille nous ne nous avouons pas vaincu, nous combattrons tant qu’il nous restera une bille dans le chargeur, et peut être même après. Les missions s’enchainent, les situations changent, la fatigue s’installe… Didier lâche prise :
- « Continuez sans moi les gars, j’en peu plus… »
- « Non attends on partage les munitions qu’il nous reste… »
- « M’en veuillez pas les gars, mais j’y retourne pas, j’ai d’autre flop a voir, je veux pas finir ici… Et puis, c’est pas ma guerre… C’est décidé, je rentre au Pays »
La dernière bataille se fera donc à 4 contre 4, en terrain découvert, 40 balles à tirer, et 4 fois plus à recevoir…
A 17 heures, nos dernières cartouches tirées, nous décidons de faire la paix avant de rejoindre nos pénates, la revanche se fera autour d’une table et cette fois, pour sur, c’est moi qui dégainerai le premier !
Bien que n’étant pas spécialement attiré par les armes et leurs utilisations, je n’en reste pas moins un grand gamin toujours prêts à jouer aux cow-boys et aux Iraquiens, si l’on ajoute à cela un sens aigue de l’expérimentation en tout genre, on obtient les raisons de mon call hasardeux à l’appel de Johan pour une après midi Pain ball.
Le premier challenge est de trouver le site, camouflé tel un camp militaire derrière une végétation dense et des panneaux de bois. Je tourne quelques minutes avant de débusquer les deux premiers grenadiers voltigeurs prêts à en découdre, l’occasion pour moi de faire la connaissance de Zébulon et touf puisque Johan, Arnaud et Mélanie qui ferment la marche n’arriveront qu’une bonne demi-heure plus tard.
L’Etat major où nous attends notre sergent instructeur se trouve au milieu du champ de bataille. Et des troupes sont d’ore et déjà en train d’essuyer un assaut appuyé. Nous attendons donc prudemment que les tirs ne cessent avant de rejoindre ce qui sera notre repaire d’un jour. Le confort y est spartiate ! Quelques planches pour la structure, deux tables en bois sur lesquels sont posés les armes et équipement de protection, un comptoir derrière lequel l’armurier s’active. D’ici nous ne pouvons observer la zone à conquérir que par une étroite ouverture grillagé. Les troupes repliées au QG entre 2 batailles commentent les dernières actions et choix stratégique, le souffle court, le visage couvert de sueur et de boue, on devine quelques traces d’impact sur leurs tenues trempées. Putain de guerre ! Je pense aux braves déjà perdus et à ceux de mes camarades qui ne finiront pas cette triste journée…
Notre sergent instructeur nous prend finalement en charge, il est gaulé comme un G.I Joe ! Une lueur lubrique traverse le regard du première classe Zelyh tandis qu’il nous entraine un peu à l’écart du brouhaha des soldats contant leurs exploits afin de nous donner les consignes de sécurités :
- « N’ôtez jamais votre casque hors de la zone sécurisé ! Quelque soit votre problème ! Compris ?»
- « Chef ! Oui chef ! »
- « Sécurisation des armes en zone neutre ! Compris ? »
- « Chef ! Oui Chef ! »
- « Chaque impact compte, même sans éclatement de la bille ! Lorsqu’on est atteint on lève le bras et retourne à son fort ! Compris ? »
- « Chef ! Oui Chef ! »
- « On ouvre pas le feu sur un individu qui se rends ! compris ? »
- « Chef ! Oui chef ! »
- « On ne tire pas à moins de 10m ! Compris ? »
- « Chef ! Oui chef ! »… « Heuuuu, Même sur Johan… »
- « Tu fais le malin deuxième classe G-rempok ? Quand t’auras pris une bastos à bout portant t’auras moins de bouche ! T’as envi de te prendre une bastos à bout portant deuxième classe G-rempok ? »
- « heu… ben non… »
- « Non qui ? »
- « Heu… non chef ? »
- « J’ai pas entendu ! t’as dit quelque chose ou t’es déjà en train de chialer ? »
- « Chef ! Non chef »
- « Bon, maintenant votre équipement ! Vous disposez d’un lanceur d’une portée de 25m en tir tendu. Avec une pression de 2 bars projetant votre munition à 250 km / h en sortie de canon. C’est un équipement fiable et performant. Prenez en soin. Une fois dehors ce sera votre meilleur ami ! A chaque break en zone sécurisé vous en contrôlerez la pression, vous ne devez JAMAIS descendre en dessous d’1 bar de pression. Ai-je était clair ? »
- « Chef ! oui Chef ! »
- « Combien de bar deuxième classe G-rempok »
- « Négatif chef, j’ai pas était au bar ! Rien but de la journée »
- « Bordel de cul ! t’es idiot ou tu te fous de ma gueule ? »
- « J’me fous pas de votre gueule chef ! »
- « C’est qui ton meilleur amis deuxième classe Christophilus ? »
- « Bah avant c’était pierre, mais il m’a trop chatté dessus la dernière fois alors je lui parle plus, et maintenant c’est … »
- « J’en ai rien à foutre de tes histoires Deuxième classe Christophilus… Qui c’est qui m’a foutu cette bande d’incapables ! Vous allez en baver croyez moi ! C’est qui ton meilleur ami deuxième classe Petit nuage ? »
- « C’est mon lanceur chef ! »
- « Correct petit nuage ! t’as un nom de gonzesse mais au moins il te reste 2 neurones qui fonctionnent ! »
- « Bon, maintenant je vais vous donner vos armes, vous participerez au prochain assaut avec l’équipe déjà en place, alors si vous voulez dire quelque chose à votre maman c’est le moment de l’appeler ! A mon commandement… Rompez les rangs ! »
Nous nous armons et équipons en silence, dans quelques secondes nous serons dehors, à découvert… Notre groupe de départ a été répartis dans les deux camps, Johan, Zelyh, Petit nuage, christophilus et Zeb seront désormais mes ennemis, tandis que ma vie dépendra entre autre de touf et Didier.
- « Votre mission est de capturer le drapeau et de l’amener dans le fort adverse ! Vous disposez de 15 min ! Compris ! »
- « Chef ! Oui Chef ! »
- « Alors à l’assaut »
Je sors du QG pour effectuer le premier assaut, déverrouille mon arme et court en direction de mon fort ou je rejoins mes compagnons d’infortune.
- « Salut les gars, moi c’est G-rem »
- « T’as déjà combattu ? »
- « Pas vraiment en fait… »
- « Bon tu nous couvre sur la gauche, fait gaffe à pas…. Putain ils sont partis ! allez vite en avant ! »
- « Fais gaffe à pas quoi ? » Ma question restera sans réponse…
Je cours dans la boue, mes jambes sont lourde, les épaisseurs de tissus m’encombrent, je souffle dans mon masque dont la visière se couvre de buée, les balles sifflent autour de moi, je me planque derrière un mur pour visualiser la situation… Nous avons pris position dans le camp adverse, le drapeau est à quelques mettre, dans une tranchée boueuse. Trois ennemis sont derrière une bute en terre, je dois les contourner pour dégager la zone, je retiens mon souffle et sort de ma planque en rampant, les épines se plante dans mes mains sans protections. Encor quelques mettre et je serais en position pour les prendre à revers, ça y est, j’y suis, je me dresse sur mes jambes et cours en direction de la position ennemie, je suis à moins de 10m, je crie :
- « t’es out ! »
Zelyh se retourne, surprise, et m’envoie une rafale à 3 mettre, je sens les impacts des balles qui éclatent sur mon plastron… Je suis salement touché, je lève le bras et entame mon rapatriement vers le fort ou je serais soigné….
Les 15 minutes mon totalement essoufflé. Une fois à l’abri j’ôte mon masque, mon Loader est encor à moitié plein, inutile de recharger, je fais remettre un peu de pression dans ma bombonne de gaz, reprends mon souffle et repars pour un second assaut. Nous ne sommes plus que 9, c’est une bataille shorthanded entre PKL. Le terrain à été réduit afin d’être mieux adapté à notre effectif.
Nous essayons de définir une stratégie dans le peu de temps qui nous est impartis. Nos avis divergent. Je suis, comme à mon habitude, plus enclin à une offensive franche, tandis que touf, plus serré, estime plus judicieux de prendre et tenir la position autour du drapeau. Nous finissons par opter pour l’offensive, je me porte volontaire pour saisir et protéger le drapeau.
Cette fois j’ai oublié mes jambes, je suis focalisé sur mon objectif, je pense drapeau, je vis drapeau, je cours, me positionne, et, une fois assuré que touf me couvre, je me jette sur le drapeau que je saisi avant de me remettre à couvert.
Nous avons le drapeau, mais eux on prit position pour nous barrer le passage, il faut avancer, je me jette dans l’ouverture mais suis stopper par une rafale quelques mettre plus loin, je lâche mon précieux butin sur place et retourne, le bras tendu, vers mon fort.
Touf réagit immédiatement et se précipite vers le drapeau, mais trahit par le terrain boueux et accidenté, il s’écroule littéralement avant de se faire shooter au sol par nos ennemis peu scrupuleux…
Nous sommes tout deux sur le chemin du retour lorsque nous voyons passer Johan en courant, il a le drapeau, il n’est plus qu’à une trentaine de mettre de la victoire. Touf se lance à sa poursuite, il doit arriver avant lui au fort et le shooter, trop tard, ils nous ont vaincus, nous n’avons plus qu’a nous rendre, je doute que nos adversaires ne respectent les accords de Genève après les avoir vu abattre mon compagnon alors qu’il avait un genou à terre, il va falloir tenir, ne pas parler…
Bien qu’ayant perdu la dernière bataille nous ne nous avouons pas vaincu, nous combattrons tant qu’il nous restera une bille dans le chargeur, et peut être même après. Les missions s’enchainent, les situations changent, la fatigue s’installe… Didier lâche prise :
- « Continuez sans moi les gars, j’en peu plus… »
- « Non attends on partage les munitions qu’il nous reste… »
- « M’en veuillez pas les gars, mais j’y retourne pas, j’ai d’autre flop a voir, je veux pas finir ici… Et puis, c’est pas ma guerre… C’est décidé, je rentre au Pays »
La dernière bataille se fera donc à 4 contre 4, en terrain découvert, 40 balles à tirer, et 4 fois plus à recevoir…
A 17 heures, nos dernières cartouches tirées, nous décidons de faire la paix avant de rejoindre nos pénates, la revanche se fera autour d’une table et cette fois, pour sur, c’est moi qui dégainerai le premier !
- petit_nuage
- Brelan
- Messages : 1361
- Inscription : Lundi 12 Mars 2007 18:55
- Pseudo Winamax : Petitnuage59
- Adhérent assocation
quel conteur et oui encore un grand bravo a notre organisateur qui a su prendre le drapeau et nous guider à la vistoire
Je suis un fish...et je m'en fiche
Chattard : individu prenant un risque (murement non réfléchi) et remportant les jetons de ses gentils adversaires...
Ma réplique : " c'est pas cher... pour chatter...! "
Chattard : individu prenant un risque (murement non réfléchi) et remportant les jetons de ses gentils adversaires...
Ma réplique : " c'est pas cher... pour chatter...! "
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