Et un braquage de plus...
Publié : Dimanche 26 Juin 2011 17:20
L'attaque du casino d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), dans laquelle un policier a été blessé au bras dans la nuit de samedi à dimanche, est la dernière en date d'une série noire entamée en 2010, avec une quinzaine de braquages en un peu plus d'un an.
Selon les enquêteurs, ces braquages sont l'oeuvre de deux ou trois bandes. Ce sont probablement ces mêmes bandes qui ont aussi attaqué en mars 2010 le casino Tranchant de Bâle (Suisse), proche de la frontière française, et en mars 2011, l'unique casino du Luxembourg, situé à Mondorf-les-Bains.
Le "Pasino" du groupe Partouche à Aix-en-Provence avait déjà été la cible d'un commando en avril, deux heures avant une autre attaque dans un autre établissement du groupe dans les Bouches-du-Rhône, à La Ciotat.
Depuis, deux malfaiteurs armés notamment d'une hache ont braqué mi-mai le casino du groupe Barrière de Ribeauvillé (Haut-Rhin). Le 16 juin, usant d'un mode opératoire très différent, un cambrioleur déguisé en convoyeur de fonds et muni des clés nécessaires avait fait main basse sans effraction, sur la recette d'un casino Partouche à Lyon.
C'est d'ailleurs là que la série noire des casinos avait débuté le 4 avril 2010.
Dix autres braquages ont suivi : casino Joa à Uriage (Isère) le 16 juillet, marqué par le décès d'un des braqueurs présumés tué par la police, qui avait entraîné plusieurs nuits de violences à Grenoble; Collioure (Pyrénées-Orientales) le 28 septembre 2010; Saint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie) le 23 octobre 2010; casino Barrière de Lille le 14 novembre 2010; casino Partouche de Saint-Amand-les-Eaux (Nord) le 6 février; casino Tranchant de Dunkerque le lendemain, suivi d'une série d'interpellations; casino Barrière à Cassis (Bouches-du-Rhône) le 26 février; Cavalaire (Var) le 9 mars; casinos Partouche d'Aix-en-Provence et de La Ciotat le 18 avril.
Pratiquement à chaque fois, les malfaiteurs agissent après minuit, emportant quelques dizaines de milliers d'euros. Les 196 casinos français avec leurs 22. 00 machines à sous et leurs centaines de table de poker ou de roulette gardent en effet leurs portes ouvertes tard dans la nuit.
Les casinos peuvent détenir souvent des liquidités pouvant aller jusqu'à 100 000 euros, notamment les week-ends, même s'ils sont équipés d'une chambre forte dans laquelle sont transférés régulièrement les billets de banque. Ce coffre ne peut être ouvert que par la société de transports de fonds.
Source: http://www.poker-actu.fr/
Selon les enquêteurs, ces braquages sont l'oeuvre de deux ou trois bandes. Ce sont probablement ces mêmes bandes qui ont aussi attaqué en mars 2010 le casino Tranchant de Bâle (Suisse), proche de la frontière française, et en mars 2011, l'unique casino du Luxembourg, situé à Mondorf-les-Bains.
Le "Pasino" du groupe Partouche à Aix-en-Provence avait déjà été la cible d'un commando en avril, deux heures avant une autre attaque dans un autre établissement du groupe dans les Bouches-du-Rhône, à La Ciotat.
Depuis, deux malfaiteurs armés notamment d'une hache ont braqué mi-mai le casino du groupe Barrière de Ribeauvillé (Haut-Rhin). Le 16 juin, usant d'un mode opératoire très différent, un cambrioleur déguisé en convoyeur de fonds et muni des clés nécessaires avait fait main basse sans effraction, sur la recette d'un casino Partouche à Lyon.
C'est d'ailleurs là que la série noire des casinos avait débuté le 4 avril 2010.
Dix autres braquages ont suivi : casino Joa à Uriage (Isère) le 16 juillet, marqué par le décès d'un des braqueurs présumés tué par la police, qui avait entraîné plusieurs nuits de violences à Grenoble; Collioure (Pyrénées-Orientales) le 28 septembre 2010; Saint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie) le 23 octobre 2010; casino Barrière de Lille le 14 novembre 2010; casino Partouche de Saint-Amand-les-Eaux (Nord) le 6 février; casino Tranchant de Dunkerque le lendemain, suivi d'une série d'interpellations; casino Barrière à Cassis (Bouches-du-Rhône) le 26 février; Cavalaire (Var) le 9 mars; casinos Partouche d'Aix-en-Provence et de La Ciotat le 18 avril.
Pratiquement à chaque fois, les malfaiteurs agissent après minuit, emportant quelques dizaines de milliers d'euros. Les 196 casinos français avec leurs 22. 00 machines à sous et leurs centaines de table de poker ou de roulette gardent en effet leurs portes ouvertes tard dans la nuit.
Les casinos peuvent détenir souvent des liquidités pouvant aller jusqu'à 100 000 euros, notamment les week-ends, même s'ils sont équipés d'une chambre forte dans laquelle sont transférés régulièrement les billets de banque. Ce coffre ne peut être ouvert que par la société de transports de fonds.
Source: http://www.poker-actu.fr/
